Marché... aux puces ? * * *
- Il était adorable ce petit loulou au milieu des souvenirs -
Petit Papa Noël * * *
Approche Petit Papa Noël, et si j't'attrape... j'te croque ;0)
*
Ci-dessous un petit cadeau à déballer tout de suite !
Bises à chacun/chacune
* * * Aile * * *
Et puis quoi ?
Mais qu'est-ce qu'il se passe ??
Ce n'est pourtant pas Noël !!
L'Automne ? Avec cette chaleur, je n'y crois pas ...
Oh mais j'y suis c'est encore une facétie du Petit Ecureuil !!
* * * Bisous de Cali-nous * * *
Manteau de cour * * *
Nullement effrayé de se prendre la roue,
et d'un pas tranquille, le royal volatil,
traversait la route en manteau de cour ...
Le Paon bleu est une espèce d'oiseau galliforme de la famille des phasianidés.
Il est originaire d'Asie, plus principalement d'Inde et du Sri Lanka, il vit plutôt en groupe.
Il se nourrit de graines, de céréales, de fleurs, de baies, de fruits, mais apprécie également les petits mammifères ou de jeunes serpents.
Son cri ? Le caractéristique "Léon" ! (Nous rappelerons longtemps d'une nuit camping près d'un parc animalier quelle idée lumineuse... Rires !!).
Alors que la femelle est plus petite, d'un plumage terne et sans traîne, le Mâle lui peut atteindre une longueur de 3 mètres.
Le Mâle dresse sa traîne constituée jusqu'à 150 plumes en forme d'éventail, on dit qu'il fait la roue, il s'agit pour lui d'intimider l'ennemi ou de parader devant sa belle. Les "yeux" qui ornent les extrémités de ses plus grandes plumes se nomment des ocelles.
Avec l'aide de Wikipédia.
Je ne résiste pas l'envie de vous montrer celui qui nous avait émerveillé à Prague,
Bisous à bientôt !
* * * Aile * * *
Un instant virtu'Aile * * *
Tout d'abord à ma petite maman ...
Le gâteau est magique, il y en aura pour toutes ;)
puis ensuite, nous ferons quelques pas sur le petit chemin...
Assis près du grand saule, au milieu du jardin
Comme à tes premiers jours, penché sur ton couffin
Quand je berçais tes rêves à la tombée du soir
J'essaie d'imaginer le cours de ton histoire
Les lignes de ta main, si j'étais ton chemin
Je me ferais discret dans l'ombre de tes pas
Pour t'aider à grandir et pour t'ouvrir la voie
Je serais la poussière qui s'envole à tes pieds
Un peu de mon bonheur qui colle à tes souliers
Je t'aimerais au point de te lâcher la main
Pour que tu sois le seul à choisir ton destin
A destiner ta route en puisant au hasard
Les raisons d'espérer et la force d'y croire
Si j'étais ton chemin, si j'étais ton chemin
Je construirais des ponts, des tunnels, des ouvrages
J'ouvrirais des sentiers partout sur ton passage
Pour que tu puisses aussi t'écarter quelquefois
Des pistes balisées qu'on a tracé pour toi
Je t'apprendrais les mots pour soigner les blessures
Les signes éparpillés le long de l'aventure
Pour te montrer le Nord quand tu te crois perdu
Les silences attendris de ceux qui ne sont plus
Mais qui tiendraient ta main, si j'étais ton chemin
J'irais cueillir ton rêve au plus fort de la nuit
Le planter dans la terre et l'inonder de pluie
De lumière et d'amour, au soleil de midi
Pour que tu rêves encore, chaque jour de ta vie
Je ne t'épargnerais ni le temps ni l'effort
Pour que tu sois debout devant les coups du sort
Solide et résistant face à l'adversité
Riche de ton courage et de ta liberté
Et je déposerais quelque part une pierre
Pour te laisser t'asseoir, offrir une prière
A tous ceux dont l'histoire t'a mené jusque-là
Et pour ceux qui suivront la trace de tes pas
Si j'étais ton chemin, si j'étais ton chemin
Et nous serions semblables aux bulles de savon
Qui font la route ensemble et puis qui se défont
Dans le même courant, chacun de son côté
Mais sans aucun désir, au fond, de s'éloigner
Puis, je m'effacerais comme un sentier se perd
En refaisant parfois le chemin à l'envers
J'aurais le sentiment d'avoir rempli mon rôle
Et je m'endormirais à l'ombre du grand saule
Où je berçais sans fin le début de ta vie
Au-delà des bonheurs partagés en commun
Saurais-je alors enfin si j'étais ton chemin ?
Si j'étais ton chemin ?
Bisous à toi,
Bisous à vous,
* * * A i l e * * *
Mon coup de coeur...
Il y a parfois des jours où l'on se demande où aller ? Dans quel but ?
Alors... Poussez les portes de la nature, de la curiosité, des rencontres insolites, magiques.
(pour vous rendre sur le Site cliquez sur l'image ci-dessous)
J'ai eu l'agréable surprise de rencontrer son webmestre, sur le chemin de mon blog.
Château de Béthune - la Chapelle d'Angillon * * *
A l'origine du village, l'ermite jardinier venu de Grèce au IXe siècle, Saint Jacques de Saxeau.
Au siècle suivant, les Normands pénètrent fort en avant en Berry. L'un d'eux, Gillon de Seuly, fortifie le château et le bourg qui porte son nom (donjon du XIe siècle).
La Chapelle d'Angillon est alors la "Résidence" des Princes de la principauté souveraine de Boisbelle.
On y exerçait la haute et la basse justice, la monnaie y était frappée.
Les Princesses d'Albret, la Princesse de Clèves, Gonzague Prince de Boisbelle, duc de Nevers se succèdent et enfin, le duc de Sully, Ministre d'Henri IV règne sur Boisbelle, fait construire la terrasse.
Le Château abrite un Musée consacré à Alain Fournier, né dans le bourg et auteur du Grand Meaulnes, ainsi qu'une Collection sur l'Albanie du XVIIIème siècle.
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Mon Avis : Je n'ai pas visité le Musée qui semblait un peu "abandonné" même pendant les heures d'ouvertures.
La promenade autour du plan d'eau derrière le château est particulièrement agréable, on y trouve une aire de jeu, une plage, des tables de pique-nique et de nombreaux oiseaux.
A noter, le plan d'eau n'existait pas à l'époque d'Alain Fournier, il a remplacé un petit bois.
- Henri Alban Fournier dit Alain Fournier, ici à 19 ans (1886 - 1914) -
Henri Alban Fournier est né le 3 octobre 1886 à La Chapelle-d'Angillon dans le Cher, de parents instituteurs.
Après une enfance passée en Sologne et en Berry, il poursuit des études secondaires à Paris, Brest, Bourges, Sceaux, où il se lie d'amitié avec Jacques Rivière (qui épouse sa jeune sœur Isabelle en 1909), la correspondance entre les deux jeunes gens publiée entre 1926 et 1928, est considérée comme une des plus belles de la littérature française).
Jacques Rivière (1886 - 1925) -
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- Yvonne Toussaint de Quiévrecourt ép. Brochet de Vaugrigneuse (1885 - 1964) -
En juin 1905, au cours d'une brève promenade au Grand Palais (Paris), il tombe sous le charme d'une très jolie jeune fille, Yvonne Toussaint de Quiévrecourt, celle-ci refuse ses avances et lui avoue être fiancée. Profondément Bouleversé, par cet amour platonique, le personnage d'Yvonne de Galais de son Roman le Grand Meaulnes en portera les traits. Il ne la retrouve que huit ans plus tard mariée à Amédée Brochet de Vaugrigneuse (médecin de la marine) et mère de deux enfants (Yvonne et Maurice).
Il entre à l'école navale de Brest songeant devenir marin, mais renonce en 1902, obtient son baccalauréat six mois plus tard à Bourges , puis poursuit ses études pour entrer à l'Ecole Normale et échoue en 1907.
En 1910, il obtient le poste de Rédacteur à Paris-Journal, a une liaison avec Jeanne Bruneau, une modiste, rencontrée quelques années plus tôt à Bourges, et qu'il quitte l'année suivante, elle lui inspira le personnage de Valentine dans le Grand Meaulnes.
C'est à partir de cette année là qu'il entreprend l'écriture de son célèbre roman.
En 1912, il quitte Paris-Journal, et devient Secrétaire de Claude Casimir-Perier, il entretient une liaison avec la femme de ce dernier, Pauline Benda, connue sous le nom d'actrice Madame Simone.
- Pauline Benda dite Madame Simone (1877 - 1985) -
En 1913, il revoit une dernière fois Yvonne, et poursuit ses amours avec Pauline, sont livre est publié la même année.
Lors de la première guerre mondiale il est mobilisé dans le 288e régiment d'infanterie, puis porté disparu au cours des combats des Éparges, au sud de Verdun, le 22 septembre 1914.
Son corps est identifié dans une fosse commune allemande en Mai 1991 dans le bois de St-Rémy. Il repose désormais dans le cimetière militaire de St-Rémy-la-Calonne (Meuse).
Son nom est porté sur les murs du Panthéon de Paris
A bientôt,
* * * Aile * * *