A 11 kilomètres de Nevers, à Gimouille, la Loire et l'Allier se rencontrent.

Un observatoire et un sentier de découverte ont été mis en place pour valoriser et expliquer les richesses, les dangers et les enjeux de ce grand site naturel.

Les milieux naturels, prairies, landes, forêts alluviales composées de chênes, de frênes, de saules et d'ormes subissent l'influence des activités humaines : celle de la navigation fluviale marchande par le passé, celles liée aux loisirs représente aujourd'hui une menace plus grande.

Plus de 200 espèces d'oiseaux dont la moitié y nidifient ont été recensées sur cette zone qui abrite également des castors et des poissons migrateurs.

Le WWF a décrété le Bec d'Allier "Site Panda" en 2004 afin de préserver la beauté majestueuse et foisonnante de la confluence de ces deux cours d'eau sauvages.

Un endroit magnifique où l'observatoire à des airs de proue de navire, il ne manquait, ce jour là, qu'un rayon de soleil.

* * * Bisous, à bientôt * * *

Le Pont-canal du Guétin permet au Canal latéral à la Loire de passer au-dessus de l'Allier, non loin de Nevers. Il relie le lieu-dit le Guétin, sur le territoire de la commune de Cuffy (Cher), et Gimouille (Nièvre).

Il est un des plus grands pont-canaux de France, avec 343 m de long (470 en comprenant l'écluse double attenante).

C'est l'ingénieur Pierre-Alexandre-Adophe Jullien (1803-1879 originaire de la Somme), alors âgé de 29 ans, qui en est l'auteur, de même que celui de Digoin, sous la direction de l'ingénieur-en-chef Jean-Joseph-Pierre Vigoureux.

Ouvert à la navigation en 1838, en même temps que le canal, il a été remanié entre 1880 et 1890 par l'ingénieur Léonce-Abel Mazoyer dans le cadre de la mise au gabarit Freycinet du canal.

J'ai adoré l'expression particulière de ce petit chien

qui suivait le déroulement de la situation ...

Ainsi il a été approfondi par surélévation de son couronnement, et la triple écluse  qui le ponctuait à l'aval a été transformée en écluse double.

(Source écrite - Wikipédia)

* * * Bisous à toutes et tous * * *

Mehun-sur-Yèvre surnommée la cité de Charles VII, est connue depuis le IXe siècle, tant par des sources écrites qu'archéologiques.

Au Moyen Âge, la ville se développe autour de l'église et du château, Un atelier monétaire battait une monnaie locale au XIe siècle. Au XVe siècle, elle est dotée d'une troisième enceinte et ses privilèges de franchise sont confirmés. La construction d'une nouvelle résidence par Jean de Berry, à la fin du XIVe siècle, contribue au développement des arts ; l'arrivée de la cour du roi Charles VII au château développe l'économie.

L'activité de la ville décline progressivement après la mort du souverain. Elle reprend lors de l'installation des porcelainiers au XIXe siècle. Avec l'arrivée de Charles Pillivuyt en 1854 et le développement de l'industrie de la porcelaine à Mehun et dans sa région, une ville nouvelle est construite autour des manufactures.

(Source Wikipédia)

La Tour de l'Horloge dans le centre ville

Le Château de Mehun-sur-Yèvre est situé dans le département du Cher, entre Bourges et Vierzon et remonterait sans doute au IX^e Siècle.

Au XIIème, il appartenait à la Famille de Courtenay, puis à la Maison d'Artois, avant de devenir la luxueuse résidence du Duc de Berry (vous devez certainement vous rappeler d'une des célèbres enluminures extraite du livre  "Les Très Riches Heures du Duc de Berry").

Extraits du Livre des Très Riches Heures,

Ci-dessus le Château de Mehun-sur-Yèvre

tel qu'il était autrefois...

"Les Très Riches Heures du Duc de Berry" :

Il s'agit d'un livre renfermant les prières et méditations appropriées aux différents moments de la journée, mais aussi au jour de la semaine, au mois et à la saison.

Les Très Riches Heures du Duc de Berry est le livre d'heures le plus célèbre. Les douze mois de l'année sont représentés par des enluminures qui ont été réalisées entre 1412 et 1416 par trois frères, les frères Limbourg, originaires de Flandre.

Les trois frères sont morts en 1416, peut-être d'une épidémie de peste qui sévissait à l'époque. les très Riches Heures ont été achevées, 70 ans plus tard, par le français Jean Colombe.

Ce chef d'oeuvre de l'enluminure française, est conservé au Musée de Condé à Chantilly.

Charles VII mourut dans les murs de Mehun-sur-Yèvre le 22 Juillet 1461.

Charles VII

Cinquième roi de la branche dite des Valois

(Paris 1403 - Mehun sur Yèvre 1461)

Le Château est classé monument historique depuis 1840, il appartient aujourd'hui à la Commune et abrite un musée

* * * Belle journée à toutes et tous, à bientôt * * *

Notre escapade du week-end de l'Ascension nous a permis d'aller admirer le très joli Château de Sagonne situé dans le Cher (qui a un petit air de ressemblance avec le Château d'Ohlain dans le Nord de la France, cher à notre coeur, puisque notre mariage était sur ce thème).

Un peu d'histoire (Selon plaquette locale et Wikipédia) :

Surplombant un village médiéval, classé, le Château de Sagonne dresse sa puissante silhouette chargée d'une très longue et prestigieuse histoire.

Les lieux ont une origine gallo-romaine, les premiers propriétaires remonteraient à l'An 832

- Wicfred (802 - 838)  Comte de Bourges qui l'offrit en dot à sa fille Agane, puis à ses descendants jusqu'au XVIème Siècle,

- Pierre de Courtenay (1165-1219) Comte de Nevers, d'Auxerre et de Tonnerre et Empereur latin de Constatinople, fils de Pierre de France.

-  Louis de Sancerre (1341 - 1402) Connétable de France, Compagnon et Successeur de Du Guesclin, fit construire une des tours de Sagonne,

Le gisant de Louis de Sancerre

-  Marguerite dernière héritière des Comtes de Sancerre (1355-1418), dont le fls Béraud III d'Auvergne, permis à Charles VII d'installer au Château une garnison,

- Pierre d'Amboise (1408-1473) Gouverneur de Touraine, Grand Conseiller et Chambellan de Charles VII, Compagnon de Jeanne d'Arc, Ambassadeur du Roi Louis XI à Rome, époux d'Anne de Bueil, Comtesse de Sancerre, entreprit d'importants travaux,

- Charles 1er d'Amboise (1430 - Mort à Tours en 1481), son fils, Seigneur de Meillant et de Chaumont-sur-Loire, Favori de Louis XI les poursuivit,

- Jean Babou, Grand bailli de Touraine, Seigneur de la Bourdaisière et de Thuisseau, Gouverneur de Gien et de Brest, Ambassadeur extraordinaire de Rome puis Grand Maître d'Artillerie du Roi Charles IX, grand-père de Gabrielle d'Estrée, en devient propriétaire en 1542

Jean Babou

1511 - 1569

- Charles de l'Aubespine, Marquis de Chateauneuf, Garde des Sceaux et oncle de Saint-Simon, l'achèta en 1632 mais y séjourna à peine trois ans, poursuivi par la haine de Richelieu il fut emprisonné 10 ans. Son neveu, héritier et fort dépensier, dût se résoudre de s'en séparer au profit de Jules Hardouin-Mansart, son beau-père en 1699, le fait d'acquérir un château féodal titré, permettra à Mansart de s'offrir par la même occasion le titre de "Comte".

- Jules Hardouin-Mansart, Architecte de Louis XIV à Versailles et membre de l'Académie Royale d'Architecture, l'adapta dans l'espoir d'y recevoir le roi qui devait prendre les eaux, non loin...

Jules Hardouin-Mansart, Comte de Sagonne

Paris 1646 - Marly 1708

On lui doit -entre-autres- l'achèvement du Château de Versailles et le Dôme des Invalides

Son fils, puis son petit fils, Jacques, Architecte de mérite prendront la succession, mais en 1767, ce dernier, ruiné, se résoudra à le céder à sa cousine Anne d'Arpajon, Gouvernante de la Dauphine Marie-Antoinette, qui le revendra à son tour en 1769, car retenue à la cour, à la famille Boisrenaud, c'est ensuite le principal fermier de cette famille qui en sera le propriétaire.

Anne Claude Louise d'Arpajon - Comtesse de Noailles

Arpajon 1729 - Paris 1794 (guillotinée)

Le Comité Révolutionnaire fera démonter les faîtages de plomb pour confectionner... des balles, c'est alors que les différents propriétaires se succéderont avec pour seule idée : tirer parti de la revente de ses divers matériaux ruinant un peu plus l'édifice.

Classé Monument historique en 1914, il restera pourtant dans l'abandon.

C'est en 1974, que la Famille descendante de Jean Babou commencera la restauration, pour lui rendre son lustre et l'ouvrir à la visite.

Aujourd'hui ...

Le Château conserve une partie de son enceinte fortifiée et un très important donjon duquel se détache une élégante tour d'escalier. Les tours abritent des chambres toutes équipées de latrines personnelles, confort absolu pour l'époque.

(Photo trouvée sur le net)

Certains n'en ont que faire de l'interdiction de pêcher ;0)

Le bourg actuel dont la rue principale épouse la courbe de l'enceinte féodale, nous vient tout droit du passé. Ses constructions harmonieuses retracent la vie sociale et l'activité artisanale des villages berrichons ancestraux.

Soucona, divinité gauloise des eaux courantes, donna son nom au village qui se transforma au fil du temps en Sagonne, ainsi qu'au ruisseau "Le Sagonnin".

* * * Bonne Semaine à toutes et tous * * *
Bisous
*

Au fil de notre promenade, le Château de Jussy Champagne...

Nous avons peu d'informations sur cet endroit.

Il s'agit d'une grande demeure de style Louis XIII construite de 1584 à 1650 par la famille de Gamaches;

Véritable bijou niché dans un écrin de verdure, ouvert au public en Juillet/Août, c'est la raison pour laquelle nous nous sommes attardés surtout devant l'entrée protégée de sa majestueuse grille.

Il serait possible de visiter de très beaux jardins à la Française et une collection de costumes du 19ème siècle.

aux alentours, ambiance bucolique...

Pendant ce temps à la maison les fleurs poussent leur premier cri...

* * * Bon week-end à vous * * *

Ce week-end se déroulait la fête du vin et du fromage,
mais l'on pouvait inviter la fraise régionale pour le bonheur complet des papilles.

Le Selles sur Cher est un fromage français fabriqué en Sologne.
Confectionné à base de lait de chèvre entier cru, sa pâte est blanche avec une croûte fine et fleurie de couleur naturelle ou cendrée au charbon de bois.
On le trouve sous forme tronconique très plate à bords biseautés dont le diamètre n'excède pas 9,5 cm.
pour un poids moyen est de 150 grammes.

... du vent, tout le temps ...

Un joli clip à ne pas jeter,

Petite histoire (Source Wikipédia) :

La construction du Château débute à la fin du XVIe et au début du XViie siècle sur ordre d'Henri de Saint-Nectaire. Elle se poursuit sous le règne de son fils, Henri II, Duc de La Ferté-Sennectère.

Le Château entouré de douves, est constitué du petit château, dans la partie gauche du corps de logis actuel, construit entre 1590 et 1620 et du grand logis (ou grand château) et ses deux pavillons qui en encadrent l'entrée datant du XVIIe.

Le parc de 40 hectares a été aménagé en jardin à la française dès les années 1630, il sera modifié en parc paysager à partir de 1822.

Le Maréchal de Lowendal l'acquiert en 1748 ; il est confisqué à son fils lors de la Révolution française.

François Victor Masséna, fils du maréchal d'Empire, le rachète en 1827.

Jacques Guyot acquiert le Château en 1987 et l'ouvre au public.

En 1992, le jardin est réagencé tel qu'il était au XVIIe siècle. Il comporte sept bras d'eau, dont les eaux du Cosson, on y trouve des charmilles, des cyprès chauves ainsi qu'un araucaria (pin du Chili).

Les Ecuries datent du XIXe siècle.

Le Château, le Parc et les Douves sont classés aux Monuments historiques par arrêtés des 29 juillet 1961 et 7 mars 1995.

Nous avons découvert le Château de la Ferté St Aubin en Sologne, au hasard d'un rond point qui nous invitait à aller lui rendre visite paré de ses lumières de Noël.

A l'intention de mes aimables visiteurs,

Seules les photos des intérieurs et extérieurs du Château sont vraies,

le reste appartient à l'imagination (Images de Tim Burton * Mots d'Aile) :

C'était dans une ambiance aux volets fermés

que l'esprit de Noël nous était apparu,

un endroit où les siècles se réveillaient

sous une multitude

d'étoiles lumineuses ...

Comme dans un rêve statues et colombes

se dévoilaient nimbées de lucioles et de tulle,

Dans la chambre virginale,

le grand lapin blanc paraissait oublier

de compter les graines du temps,

et attendait Alice...

La salle de bain de princesse

se faisait l'antichambre d'un placard

aux mille robes de bal ...

A la lueur des candélabres d'argent,

la table dansait d'impatience avant de recevoir

les merveilles du palais...

Dans le secret des cuisines,

des mains de fées confectionnaient

madeleines et chocolat chaud,

pour adoucir les morsures de l'hiver...

La Reine de Coeur

avait organisé pour l'occasion,

un chemin de croquet

où la mère l'Oie et ses soeurs se dandinaient

d'un pas pressé...

() ()

( *.* )

  (")_(") 

Beaucoup d'autres surprises attendaient petits et grands, mais pour imaginer une histoire en entier, le mieux et d'y rendre, hiver... ou été...

Bravo au Châtelain, sa famille, les habitants du village de la Ferté de s'investir autant pour redresser ce château des ravages des siècles, nous étions nombreux ce jour là à admirer ces mises en scènes d'objets, de jeux anciens, de chevaux, de nature. Tout y était simple mais d'un goût si exquis.

J'en profite pour conseiller aux amateurs de Tim Burton
de se rendre dans un terrier obscur
afin d'y observer de plus près
Alice aux Pays des Merveilles
un film en version 3 D

* * * Bisous à toutes et tous * * *

Je profite d'une semaine en famille pour sillonner les villages,

Au programme La Commanderie Templière d'Arville, une des mieux conservées de France, (XII, XV et XVIème Siècles).

Située dans le Loir-et-Cher au Nord de Vendôme.

Courte histoire :0)
  L'ordre du Temple fut fondé en 1128, afin de protéger militairement les pélerins se rendant en Terre sainte prier au Saint-Sépulcre.

Les Templiers s'installèrent à Arville vers 1128 ou 1130 sur un domaine forestier d'environ 1000 hectares mis à leur disposition par le Seigneur de Mondoubleau Geoffroy III.

Ainsi est fondée la Commanderie qui devient domaine agricole, centre de recutement et base de formation militaire pour les chevaliers en attente de leur départ en Terre sainte, et lieu de vie religieuse.

Ils vécurent ici jusqu'à leur arrestation, le Vendredi 13 Octobre 1307, décidée par Philippe IV le Bel, Roi de France, qui les accuse d'être devenus des hérétiques.

Après la suppression de l'ordre du Temple, la Commanderie devient propriété des Hospitaliers, qui deviendront Chevaliers de Malte au XVIème Siècle et qui resteront propriétaires jusqu'à la Révolution de 1789.

L'ensemble est alors vendu comme bien national et acheté par des agriculteurs.

Aujourd'hui c'est la Communauté de Commune des Collines du Perche qui en est la propriétaire, diverses Animations sont proposées, savoir faire des artisans locaux : le boulanger, le potier, le caligraphe, le maréchal Ferrant, le tourneur sur bois ; des expos peintures ; dégustation de saveurs du moyen-âge ; concours d'écriture, etc.

Le jardin médiéval mérite également l'attention !

La porte fortifiée...

Et bien non ce ne sont pas des ardoises mais des tuiles nommées bardeaux en bois de châtaignier !

A gauche la grange dîmière au fond le pigeonnier du XVIe S ...

La boulangerie et son four à pain ...

L'église templière du XIIe S ... le plafond est en forme de coque de navire renversée, les pierres extérieures sont en magma de gré et silex.

Dans l'ancien presbytère s'est installée la Fondation des Amis de la Commanderie d'Arville, un petit café comme chez l'habitant pour faire une pose bien sympa et des spécialités fermières locales, j'ai craqué pour une sorte de pâté de boudin de canard et une confiture artisanale de tomates vertes/Citrons/Anis.

A bientôt pour de nouveaux partages !

Samedi je suis allée visiter le Château de Chambord.

L'arrivée par la forêt...

J'en avais vu les extérieurs pour la toute première fois il y a 15 ans ;
J'y étais retournée l'année dernière pour la Fête de la chasse -enfin surtout pour admirer les attelages et assister au spectacle pyrotechnique qui la clôturait-

Je voulais absolument voir l'intérieur, voilà enfin qui est chose faite.

Un peu d'histoire (mais vraiment un peu ;0)

En 1515 François 1er part conquérir la province du Milanais en Italie et marquera une victoire, il en sortira fortement influencé par l'architecture Italienne de la Renaissance.

En 1519, le jeune Roi François alors âgé de 25 ans, passionné de chasse, il décide de faire construire un château qui servirait de relai à son sport favori et se lancera dans l'immense chantier du Château de Chambord.

L'endroit est à l'origine un marécage qu'il faudra assécher, des pieux d'acacias imputrécibles seront plantés pour les fondations.

Des dimensions vertigineuses pour un château aussi beau que dans un conte de fées.

156 mètres de long, 56 mètres de haut, 77 escaliers, 282 cheminées, 426 pièces.

Le tout dans un blanc tuffeau taillé avec virtuosité et constrasté d'ardoises, disposées comme des petits miroirs.

Le plan du château...

Et pourtant François 1er n'y passera que 72 jours en 32 ans de règne (quel gâchis...)

Il ne connaîtra pas l'achèvement de son oeuvre, c'est Henri II son fils, puis Louis XIV qui y veilleront.

Il passera par bien des mains, après François 1er, Henri II, Gaston d'Orléans (frère de Louis XIII) , Louis XIV, Stanislas Leszczynski (Roi de Pologne), le Maréchal de Saxe, le Duc de Bordeaux/Comte de Chambord.
Il sera racheté par l'état français en 1930.

Le carrosse du Comte de Chambord commandé mais jamais utilisé !
Les selleries ont été exécutées par la célèbre maison Hermès.

Le cavalier fait partie du groupe qui fait dans l'après-midi une représentation.

L'entrée ...

Détail de la façade ...

L'escalier à double révolution,

Léonard de Vinci venu en France en 1516, serait l'inspirateur de celui-ci.
Sa particularité est que deux personnes empruntant chacune une volée d'escaliers, pouvaient s'apercevoir sans jamais se rencontrer.

La raison de ce qui paraissait comme magique à l'époque ? Deux escaliers à vis imbriqués autour d'un noyau creux central !

Le haut de la tour de l'escalier aux armoiries de François 1er,

La salamandre représentant la devise du souverain : "Nutrisco et extinguo" "Je me nourris du bon feu et j'éteins le mauvais"

Tour abritant l'escalier central ...

Détail d'un pilier...

Les clefs du château (impressionnant tout de même...)

sa vaisselle...

La chapelle dans l'une des tours...

Le sceptre utilisé quand le roi rendait justice...

Vue magnifique des terrasses du château sur le domaine...

Bien d'autres choses sont à voir au château, des lits énormes (en hauteur) et pourtant démontables qui suivaient la cours lors de ses déplacements, des scènes de chasse, des trophées, de très belles toiles représentants les propriétaires successifs, leurs femmes et les nobles de l'époque, les boiseries dorées ont été reconstituées, malheureusement certaines ailes ayant servi comme hôpital pendant la guerre, elles avaient été arrachées et ont servi pour le chauffage.

Beaucoup de marches (ne faites pas comme moi, prévoyez de bonnes chaussures), beaucoup à voir (salle audiovisuelle, musée, objets ayant appartenu au Roi Henri II), de quoi passer un après-midi et même une journée ! Un service de restauration au village, des barques pour faire une promenade dans les douves ou louer des vélos et apercevoir le château sous différents angles.

Chambord est un caprice, une folie mais il reste malgré tout l'un des plus beaux châteaux au monde.

A bientôt !