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Des Ailes aux Nuages
chateaux
15 juin 2012

Angle-sur-l'Anglin - Vienne (86)

L'histoire d'Angles-sur-l'Anglin commence il y a 14 000 ans.

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Sur les rives de l'Anglin dans l'abri du Roc aux Sorciers, les hommes magdaléniens ont sculpté des bas-reliefs représentants des animaux et des formes humaines. Cet ensemble découvert en 1948, unique au monde n'est pas ouvert au public, il est néanmoins possible de se rendre au Centre d'interprétation qui s'attèle à étoffer les lieux au fur à mesure de leurs découvertes.

Cela ne s'arrête pas là, flâner dans les venelles ou grimper à son château sont de beaux instants.


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La "Huche Corne"

Actuellement une des plus belles vues panoramiques d’Angles, c’était autrefois un endroit stratégique pour les soldats qui pouvaient surveiller l’entrée d’ennemis par la ville basse.

Hucher signifie, appeler : les soldats huchaient dans une corne pour avertir la population de l’éventuelle arrivée d’assaillants.


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Historique :

1025, Le Château est édifié à plus de 40 mètres de haut, par Gilbert, évèque de Poitiers.

1310, Guichard d’Angle naît au château.

1360, Suite au Traité de Brétigny, il céde la forteresse aux Anglais.

1372, Le Château est repris par Du Guesclin.

Bertrand du Guesclin 1320 1380

- Bertrand du Guesclin (1320-1380)-

Début du XVème, deux évêques entreprennent de remanier la vieille forteresse. Hugues de Combarel fait édifier un logis d’habitation qui évoque déjà la Renaissance. Il modifie aussi le vieux donjon et signe son œuvre en y apposant ses armes sculptées : 3 coquilles Saint-Jacques et une demie molette d’éperon.

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Guillaume Gouges de Charpaigne poursuit son œuvre.

Pendant les guerres de religion, les protestants, avec à leur tête Coligny, pillent le château et l'abbaye Sainte-Croix avant d’être battus à Moncontour.

50 ans plus tard, les épreuves recommencent et les partisans de la Fronde prennent la forteresse

1652, Reconquête par le Duc de Roannez, Gouverneur du Poitou pour Louis XIV. la forteresse est considérée comme ruine.

1708, Le domaine est confirmé comme ruine, le Parlement de Paris exempte les Evêques de Poitiers de leur devoir d’entretien.

1792, La forteresse est confisquée et la Commune décide de l’utiliser comme carrière de pierres. Mais l’accès est tellement difficile et la demande peu importante, les ruines sont sauvées.

XIXème siècle, elle est transformée en parcelles cultivables. Les Anglois y entretiennent leur jardin.

1882, Le Château est acheté par le baron de Puynode, propriétaire du Château des Certeaux. Sa veuve revend le château à la société des Antiquaires de l’ouest en 1921 qui le fait classer monument historique en 1926 avec l’Eglise Saint-Martin et les restes de l’abbaye Sainte-Croix.

La Commune rachète la forteresse pour le franc symbolique en 1986 et s’emploie à sa sauvegarde.

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Le Pont du Moyen-âge assurait la liaison ville basse – ville haute.

1740, Les piliers se renversent suite à des inondations et des glaces. Les travaux de reconstructions jugés trop coûteux il est remplacé par un bac.

1842 et 1845, Reconstruction du pont qui rejoint la ville haute à la nouvelle route de Maillé construite en 1835 au travers des ruines de l’abbaye Sainte-Croix.

Le pont actuel sera achevé après la première guerre mondiale.

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Le Moulin situé au pied de la forteresse était celui de l’Abbaye réservé à l’usage des moines et des habitants de Sainte-Croix.

A la Révolution, il est vendu aux enchères comme bien du Clergé.

Plusieurs propriétaires se sont succédés et plusieurs fonctions lui ont été attribuées : scierie, meule à grains.

"Retraité" vers 1968, il s'agit aujourd'hui d'une résidence secondaire.


 

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Sur la rive gauche de l'Anglin, sous la protection du château, se trouve l'abbaye Sainte-Croix.

Fondée en 1080 par Isambert Ier, vers 1094, le pape Urbain II fait remplacer les moines bénédictins par des chanoines réguliers de l’ordre de Saint-Augustin, qui tiendront l’abbaye jusqu’à la Révolution.

Au XIIIe siècle, les religieux partagent leur temps entre prière et étude des arts.

La première pierre de l'église Sainte-Croix est posée en 1175 par Guillaume Tempier, évêque de Poitiers, et consacrée en 1192 sous le règne de Philippe Auguste.

L’abbaye s’enrichit vite de nombreux dons et d’échanges avec celle de la Merci-Dieu proche de La Roche Posay. Mais à la fin de la guerre de cent ans, en 1428, les ressources ont tellement diminué qu’il ne subsiste que 10 moines au lieu de 24.

Les abbés s’y succèdent et à partir de la fin du XVIème siècle, Sainte-Croix devient une abbaye en « commende ».

Détruite en 1567 par les Calvinistes, une partie de la nef fut restaurée vers 1660 pour donner la chapelle actuelle.

En 1768, à la fin du règne de Louis XV, on dénombre encore 5 moines.

A la Révolution, les maisons des chanoines sont vendues comme biens nationaux à des particuliers, mais l’abbaye reste propriété de l’Etat et personne ne l’entretient.

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La façade et les restes de l'église sont particulièrement remarquables par l'architecture de transition qui les caractérise. Ils annoncent le style gothique : portail à ogive surbaissée, élancement et importance des ouvertures, colonnettes délicatement sculptées.

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- Deci-delà, quelques repos d'Ailes ... -

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(Textes retravaillés à l'aide des tablettes trouvées sur place et du site http://www.anglessuranglin.com/)


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* * * Bisous Aile * * *

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7 juin 2012

Le Château de Fréteval - Loir et Cher (41)

 

Un petit château dans la prairie, et pourtant ...

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1044, Le Château de Fréteval, a été construit dans le Loir-et-Cher sur les ruines du village fortifié de Saint Victor par Geoffroy Martel ;

1087 - 1097,  Nivelon II de Meslay, Seigneur de Fréteval, fait construire un donjon circulaire pour surveiller la rive gauche du Loir (il s'agirait le premier donjon circulaire...) ;


Le Château à la limite des comtés de Vendôme à l'ouest et de Blois au Sud-est, joue épisodiquement un rôle dans la grande histoire de France, lorsque les royaumes de France et d'Angleterre, présents à travers les deux comtés s'affrontent localement ;


 

1153, Henri II Plantagenet, Roi d'Angleterre est battu par la garnison de Fréteval ;

Entre 1158, Le traité de Gisors contraint Hamelin de Meslay à remettre son Château Henri II Plantagenet, Roi d'Angleterre, qui le fait renforcer par la construction d'une deuxième enceinte ;


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- Henri II d'Angleterre (Plantagenêt) (1133 - 1189) -


Juillet 1170, Henri II Plantagenet, rencontre à Fréteval, Thomas Beckett, Archevêque de Canterbury, en vue d'une réconciliation, connue sous le nom d' "Entrevue de Fréteval" au cours de laquelle le Roi donne le "baiser de la paix" à l'Archevêque opposé à l'hégémonie de son Roi sur l'Eglise d'Angleterre. Mais en Décembre de cette même année, quatre chevaliers français armés par Henri II  traversent la Manche pour aller assassiner Thomas dans sa Cathédrale de Canterbury, un des chevaliers n'est autre que Renaud, fils d'Ursion (Reginald Fitzurse), Seigneur de Fréteval ;


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- L'Archevêque Thomas Beckett, assassiné (1117 - 1170) -


1187, le traité de Chateauroux contraint Henri II à céder à son tour le Château à Phlippe Auguste, Roi de France.

1194, C'est l'évènement connu sous le nom de "Bataille de Fréteval" qui oppose, en un lieu assez proche de la forteresse en direction du sud-ouest (La forêt de Fréteval), les troupes de Richard Coeur de Lion, Roi d'Angleterre, à celles de Philippe Auguste, Roi de France. Au cours de cette bataille, le Roi de France, mis en déroute, perd son trésor, son sceau et ses archives, Richard Cœur de Lion s’empresse de détruire ces dernières. C’est à la suite de cet événement que fut créée la fonction de Garde des Sceaux !

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- Philippe Auguste (1165 - 1223) -

*

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- Richard 1er d'Angleterre dit Coeur de Lion (1157 - 1199) -


Pendant la Guerre de Cent Ans, le Château est mis en défense contre les Anglais ;

1377 - 1418, De nombreux travaux sont exécutés ;

Mars 1418, Siège sans succès des Anglais ;

Avril 1429, Prise et destruction (notamment son donjon) par les troupes anglaises ;

Les années qui suivent, Le Château n'arrive pas à se relever de ses ruines, il est quelques temps occupé, puis finit par servir de carrière de pierres ...

1926, Il est classé Monument Historique ;

1968 - 1981 - 1988, Diverses fouilles sont entreprises ;

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Aujourd'hui, Il est difficile d'imaginer que dans cet endroit aussi buccolique de nombreuses batailles ont fait rage !

Des visites guidées sont régulièrement organisées (voir avec l'Office du Tourisme).

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A bientôt toutes et tous,

* * * * Aile * * * *

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24 mai 2012

Le Château de Selles sur Cher, une entrée pour lui offrir quatre ardoises ...

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 - Le Château de Selles/Cher (Loir-et-Cher 41) -

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- Philippe de Béthune -

Baron puis Comte de Selles, Baron de Charost, de Mors, Seigneur de Font-Moireau, est un homme d'armes, un gentilhomme de l'administration royale, ainsi qu'un diplomate français, né en 1565.

Fis du Baron de Rosny et de Charlotte Dauvert.

Philippe est le frère cadet du célèbre Ministre d'Henri IV, Maximilien de Béthune, Duc de Sully.

Philippe de Béthune sert avec distinction Henri III puis Henri IV pendant les guerres de la ligue. Le jeune homme est d'abord formé au métier des armes. Il est surintendant de la maison du bailli de Mantes et Meulan. Il reçoit une charge de Lieutenant de compagnie de gendarme. Chevalier des ordres du roi, il est nommé Lieutenant Général en Bretagne, puis Gouverneur de la ville de Rennes.

En complément puis au terme de ses fonctions de police et d'administration, il occupe une place de Conseiller au conseil d'état privé et au conseil des finances. Gentilhomme du roi, il est nommé Chef du conseil des dépêches étrangères.

A la cour, il reçoit l'honneur d'être nommé Gouverneur de la personne de Gaston d'Orléans.

Premier gentilhomme de la chambre du roi, Philippe de Béthune, grand amateur d'art, est nommé Ambassadeur en mission extraordinaire auprès de Jacques II, Roi d'Écosse, puis de 1601 à 1605 Ambassadeur ordinaire à Rome.

Il admire l'école naturaliste romaine, et sort de prison son peintre-phare, le maître lombard Michelangelo Merisi di Caravaggio.

Familier de Clément VIII, il prend part à l'élection de ses successeurs, Léon XI et Paul V. Il s'attache à une paix italienne en essayant de mettre fin à l'incessante guerilla entre les partisans du Roi d'Espagne et ceux des Ducs de Mantoue et de Savoie. Ce sont les prémisses du traité de Pavie qui se conclut tardivement entre 1617 et 1619. Il demeure jusqu'au 6 juin 1605 dans la cité papale.

Philippe est ensuite nommé Ambassadeur en Savoie et en Allemagne sous les règnes de Henri IV et de Louis XIII, avant d'accéder à la charge de Gouverneur de Gaston d'Orléans.

Il reçoit mission avec le Cardinal de La Rochefoucault d'adoucir les griefs de la reine-mère Marie, alors retiré à Angoulême loin de la cour, envers le Roi son fils. Armand du Plessis, futur Cardinal de Richelieu, y joue un rôle éminent.

Le Duc d'Angoulême et lui sont nommés députés extraordinaires en 1624 vers l'Empereur et les Princes allemands. Il s'agit de prendre la mesure de la désagrégation du Saint Empire emporté dans la guerre de trente Ans.

Les années suivantes, Philippe de Béthune est accaparé par les affaires romaines. Une ambassade extraordinaire auprès du pape Urbain VIII lui permet de mettre fin à l'ancien litige de la Valteline. Devant le pape reconnaissant, il signe un traité avec l'ambassadeur d'Espagne. En 1629, il négocie afin d'empêcher la maison d'Autriche d'opprimer la maison de Mantoue et d'annexer Cazal. Un traité d'union, entre le Roi, sa Sainteté et la République de Venise est conclu.

Mais les évolutions de la politique interne française après 1628, en particulier la reconquête des lieux de sûreté prostestants par le Roi et Richelieu, suscitant l'hostilité d'une partie de sa large famille, l'éloigne des faveurs royales. Il reste toutefois proche des milieux diplomatiques qu'anime la pensée politique du Cardinal Richelieu.

Homme de plume, il a écrit des Observations pouvant servir au maniement des affaires publiques, à la suite de l'Ambassade de Monseigneur le duc d'Angoulême, publiée par Henri, comte de Béthune, en 1677.

La prestigieuse fonction diplomatique sous Clément VIII à Rome lui a permis d'obtenir le titre de Cardinal à la curie romaine. Homme de religion, le vieux Philippe l'est plus sûrement en fondant en sa ville de Selle(s) une congrégation de Feuillants, mais aussi une maison des Ursulines pour y accueillir des sœurs du couvent de Blois.

Il meurt en 1649 à l'âge de 88 ans en son château de Selles ; Une partie de ses riches collections d'art, constituées de statues et de toiles du courant naturaliste qu'il avait vu naître, a attirée la convoitise de la reine Christine de Suède. Mais, apparemment préemptée, elle intègre les collections royales de Louis XIV.

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Quelques dates repères du Château :

Thibault le Tricheur, Comte de Blois, érige en 935 à Selles le premier donjon sur motte,

Vers 1140, un Château fort est bâti par Ginon de Mehun,

1212, Robert de Courtenay procède à sa restauration,

1604, Philippe de Béthune, y élit domicile et fait bâtir deux pavillons carrés et d’autres dits dorés,

1719, La sœur de la Reine de Pologne, Anne Marie Louise de Béthune, vend le Château à Pierre Cardin le Bret,

1810, Plusieurs transformations sont dirigées par le nouveau propriétaire le Marquis de Bartillat,

1813, la bande noire détruit une partie de la propriété,

1880, la Famille du Moulinet d’Hardemare entreprend des restaurations importantes.

2001, le château est cédé à une société civile immobilière,

2012, Noémi Brunet et Michel Guyot, passionnés d'histoire et expérimentés, entreprennent de sauver le Château, avant de le remettre en vente la même année, les nouveaux propriétaires sont  Mr Nicolas Mazzesi et Mme Katherine Wu qui auront pour projet d'ouvrir une cave.



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- L'entrée -

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La galerie à oculi au dessus des douves laisse entrevoir une belle vue sur le clocher de Selles...

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 - La Chambre de la Reine de Pologne -

 

Marie Casimire Louise de la Grange d'Arquien est née à Nevers en 1641, et décédée en 1716 à Blois, nommée en Pologne Maria Kazimiera, surnommée Marysienka,  fut reine de Pologne de 1674 à 1696.

Fille d'Henri Albert de la Grange d'Arquien, issu de la moyenne noblesse du Nivernais et de Françoise de La Châtre. Dès l'âge de cinq ans, elle accompagne comme dam de compagnie Marie-Louise de Gonzague-Nevers, qui devient reine de Pologne (1645-1672).

Elle épouse en 1658 Jan Sobiepan Zamoyski, à la mort de ce dernier en 1665, Marie Casimire Louise de La Grange d'Arquien épouse Jean III Sobieski le 5 juillet de la même année. Ils ont ensemble quatorze enfants, dont seuls quatre survivent.

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- Jean III Sobieski (1629 - 1696) -

Jean Sobieski est élu Roi de Pologne en 1672 et règne à partir de 1674. Comme Reine de Pologne, Marie Casimire Louise de La Grange d'Arquien soutient une éventuelle alliance avec la France.


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- La très belle tapisserie en Cuir de Cordoue de la grande salle -


 

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Les Pavillons dorés sont situés à l'arrière et bâtis sur les murs médiévaux.

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 - Les incroyables plafonds -

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 - Quelques-uns des visages expressifs du plafond à caissons -

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 - Repassage à l'ancienne... Cela vous tente ? -

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- Les habitants de la mini ferme -

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 (Rédaction avec l'aide de Wikipédia, du Site du Château, la NR)


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Bises et à bientôt

* * * * A i l e * * * *

13 avril 2012

Le Château de Chenonceau - Indre et Loire (37) - 4/4

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- Marguerite Pelouze (1836 - ?) -

 

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- Louise Dupin (1706 - 1799) -

(son gracieux portrait peint par Nattier, elle était aïeule par alliance de George Sand)

 

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 - La ferme du XVIème siècle, vue d'une toute partie du Jardin/potager -

Fin

 


Pour une vision différente, je vous conseille de cliquer sur la photo ci-dessous pour visiter le Site d'Ecliptique :

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LES + :

             * Des tableaux et mobliers remarquables à découvrir,

             * De superbes bouquets naturels ponctuent les saisons,

             * Différents points de vues (du jardin) sur le Château ou sur le Cher (notamment du cabinet vert) ponctuent agréablement la visite.

 

LES - :

             * Le Musée de cire, les expressions des personnages ne sont pas très jolies, l'environnement triste ne les met absolument pas en valeur, ils auraient été plus à leur place dans les différentes pièces du château, dommage.


CONSEIL : Chenonceau rencontre beaucoup de succès, il s'agit du Château le plus visité après Versailles, pour une promenade plus tranquille, l'heure du déjeuner est idéale, pour les photos prévoyez un polarisant ;0)


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A bientôt,

* * * Bises, Aile * * *

12 avril 2012

Le Château de Chenonceau - Indre et Loire (37) - 3/4

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 - Le vestibule de Catherine Briçonnet -

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 - La Chambre des cinq Reines -

(nommée ainsi en souvenir des filles et belles filles de Catherine de Médicis)

Ses filles : La Reine Margot - Elisabeth de France,

Ses belles-filles : Marie Stuart - Elisabeth d'Autriche - Louise de Lorraine.

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 - La Chambre Catherine de Médicis -

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 - La Chambre de César de Vendôme -

(La cheminée est du XIXème siècle, une des cariatides de la fenêtre elles datent du XVIème siècle)

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- Un des superbes bouquets trouvé dans la chambre de Gabrielle d'Estrées -

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Louise de Lorraine et son défunt mari, le Roi Henri III,

sa chambre d'une tristesse infinie peinte en noir dont un des motifs ici photographié

lui servit de lieu de recueillement et de prière,

toute de blanc vêtue, comme le voulait le deuil royal , entourée de religieuses,

la belle dans le chagrin avait sombré dans la mélancolie.


( Chapître précèdent cliquez sur la Fée)

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Les Jardins et vue d'ensemble de Chenonceau, suite bientôt ...

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11 avril 2012

Le Château de Chenonceau - indre et Loire (37) - 2/4

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- La Chambre de Diane de Poitiers -

 

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 - Les Archives de Chenonceau -

(on peut y voir les signatures de Thomas Bohier et Diane de Poitiers)

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- La Galerie (Catherine de Medicis l'a fait construire en 1576,

elle enjambe le Cher, longue de 60 mètres et large de 6 mètres,

d'abord salle de bal, elle servit de salle d'hôpital lors de la 1ère Guerre Mondiale

la galerie servit à faire passer de nombreuses personnes en zone libre) -

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 - La Chambre François 1er -


Les Cuisines ...

 

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- La Cheminée du XVIème siècle -

 

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 - La Salle à manger, réservée au Personnel du Château -


 

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(Chapître précèdent, cliquez sur la Fée)

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Le premier étage bientôt ...

3 avril 2012

Le Château de Selles sur Cher va à nouveau briller ! (Loir-et-Cher) * * * * *

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(photo empruntée au Site officiel du Château, en attendant l'ouverture)

Visiter le Site >> ici <<


Une pierre précieuse ne brillait plus depuis plusieurs années à Selles-sur-Cher ;

Les Habitants en rêvaient depuis longtemps,

les Touristes tentaient tant bien que mal de l'apercevoir entre les grilles.

Voici donc le grand moment :


Le Château de Selles-sur-Cher

ouvre enfin ses portes aux grands comme aux petits*

le 28 Avril 2012,

grâce à la magnifique initiative de deux Amoureux d'Histoire.

(\(*_*)/)

Amis blogueurs, Passionnés d'histoire et de vieilles pierres, Artistes, Journalistes, qui venez régulièrement me "coucouter" sur mon blog, relayons l'information, plus nous serons nombreux à les visiter, plus nous les aiderons à sauver ce bijou de notre beau patrimoine français !


P.S. : - Et puis ceux qui aiment les lapins ne peuvent qu'être que des gens biens ! Découverte également sur place d'une petite ferme (*) -


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Capture d’écran 2012-04-03 à 19Bises,

et à bientôt pour l'escapade photos à Chenonceaux ...

* * * Aile * * *

 

26 mars 2012

Le Château de Bellegarde - Loiret (45)

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Le Château est dessiné par Claude Chastillon et édifié par Nicolas Braque, Grand argentier royal, à partir de 1355, probablement sur les fondations de celui datant du XIIème. Le Château prend le nom de l'Hospital suite au mariage de la fille de Nicolas, famille qui l'administre jusqu'en 1645. Il passe ensuite aux mains de Jean Antoine de Pardaillan (1592-1687) Grand Maître de la garde-robe du Roi, vilain individu qui les les lieux en très mauvais état, le château doit son salut au Duc d'Antin.

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- Françoise, Athénaïs de Rochechouart de Mortemart

épouse de Pardaillan de Gondrin

Marquise de Montespan, favorite de Louis XIV, mère du Duc d'Antin -

(1640 - 1707)

*

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Louis Antoine de Pardaillan de Gondrin

1er Duc d'Antin

(1665 - 1736)

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- Cette grille de la Cour d'Antin date de 1836 -

En 1692, le Duc d'Antin, fils de Mme de Montespan, propriétaire du domaine, réaménage les deux cours, notamment la haute cour en 1708, avec la construction deux pavillons de chaque côté de l'entrée pour ses appartements personnels et ses écuries.

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 (photo ci-dessus Wikipédia)

Le Pavillon de la Salamandre, aujourd'hui Hôtel de Ville, se prolonge  d'un logis et d'une tour en briques dite "Capitaine" (15ème siècle) autrefois prison, puis transformée en habitation sous Louis XV, par Sieur de Besigny, avant-dernier Marquis de Bellegarde (histoire un peu obscure).

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C'est ici qu'est reçue en son temps l'Europe des Lumières  : Louis XIV, Louis XV, le Régent, le Roi Stanislas et Voltaire.

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Le Château de Bellegarde présente un donjon de brique et de pierre flanqué de quatre tourelles à encorbellement.

En 1782, Gilbert de Voisins, Président au Parlement de Paris et dernier Marquis de Bellegarde, fait construire par Viel, l'actuel escalier d'honneur à double volée de la face sud (il semble que les balustres en fer forgé aient disparu avec le temps).

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Le Château se mire dans ses douves ce qui lui confère un air romantique.

Au printemps, les roses font la fierté de Bellegarde ...

Une chapelle latérale à l'église (non visitée), abrite le caveau seigneurial. Ces travaux sont l'œuvre de Jacques de l'Hospital (1578-1635), dernier Comte et premier Marquis de Choisy-aux-Loges.

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A bientôt, bises à toutes et tous !

* * *  Aile * * *

21 octobre 2011

Provins - Seine et Marne (77) - Partie 2/2 * * *

( Suite )
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Bien après... De nombreux écrivains de passage évoquent encore cette cité : Victor Hugo, Honoré de Balzac, Prosper Mérimée, Jules Cousin, Marcel Proust, Paul Fort, Umberto Eco
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- Ci-dessus, La Tour Caesar, XIIème s, édifiée sur une motte, point culminant de Provins, cette tour marque l'autorité des Comtes de Champagne sur Provins et sa région. Son rôle défensif semble assez faible, au cours des XIII et XIV siècles elle sert principalement de prison. C'est le seul exemple connu de donjon octogonal dont la base est un carré. Depuis 1693, elle abrite les cloches de la Collègiale Saint-Quiriace.


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La Collègiale Saint-Quiriace, entre 1135 et 1157 un collège de chanoines réguliers et un collège de chanoines séculiers cohabitent difficilement à cet endroit. Le Comte de Champagne Henri le Libéral décide d'y maintenir les chanoines séculiers pour lequel il entreprend d'édifier une Collègiale aux dimensions et à l'architecture imposantes.

Le Déclin des Foires de Champagne en arrête l'achèvement dès le XIVème siècle.

Les facades sans ornements, les baies et rosaces, murées après un incendie au XVIIème siècle, renforcent l'aspect massif de la collègiale.

Dans l'architecture comme dans la décoration intérieures, les styles d'époques différentes (romane, gothique et classique) contribuent à donner à cet édifice son caractère de vaste vaisseau inachevé. (d'après plaquette sur place).


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- Le spectacle équestre -

Une légende médiévale fantastique mis en scène par Equestrio.

L'action se situe au milieu du 13ème siècle alors que Thibaud IV comte de Champagne rentre de croisades, pour sauver la belle Blanche il devra affronter les forces du mal.

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Restaurant Médiéval

"La Banquet des Troubadours" :

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Tout ceci nous rappelle un tableau de Peter Brueghel l'ancien...


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- Petite photo souvenir -


Notre Avis :

La Ville : Il fait bon y passer la journée, tout est prévu ! (Les glaces à la rose... Mmmm ! ).

Les Parkings payants à l'extérieur : Les touristes sont invités à y laisser leurs voitures, ce n'est pas plus mal pour flâner plus tranquillement.

Aspect : Nous avons un peu regretté le trop restauré de la porte St Jean et des remparts qui donne un aspect trop neuf à l'arrivée, toutefois le temps fera son ouvrage.

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Le Spectacle équestre est au point, les figurants et leurs chevaux  n'hésitent pas à venir vers vous à la fin du spectacle (malgré la fatigue) et ne rechignent ni aux photos, ni à discuter, ni à laisser approcher les chevaux, les enfants adorent  !

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Si vous passez par,

Le Restaurant "Le banquet des Troubadours" : Même si le repas en lui-même est très simple, l'ambiance est assurée avec brio par le "fou" qui invite les convives à participer à plusieurs attractions, on y admire les cracheurs de feu, jongleurs, magiciens... et franchement bravo !

Attention : Le Restaurant a beaucoup de succès, pensez à réserver ; Les cartes bleues ne sont pas acceptées ; L'escalier très raide pour se rendre à la cave est assez angoissant (la remontée arrosée d'hypocras pourrait s'avérer folklorique hihihi).

En savoir plus sur le Banquet ? Cliquez sur le Fou >>> Unknown


A bientôt !

* * * Aile * * *

20 octobre 2011

Provins - Seine et Marne (77) - Partie 1/2 * * *

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PROVINS se situe en Seine et Marne,

classée au patrimoine historique de l'Unesco.

 

 


Historique * * * * *

Elle est composée dès les premiers siècles d’une Ville Haute et d’une Ville Basse.

 


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En 802, Charlemagne y envoie ses "missi dominici" (envoyés du seigneur), c'est aussi les débuts d'une architecture militaire.

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- Les Missi Dominici devant Charlemagne -


En 996, sous le règne de Hugues Capet, les reliques de Saint Ayoul sont découvertes dans le val, ce qui fait se multiplier les édifices religieux. 

En 1234, Thibaud IV (1201-1253) surnommé Thibaud le Posthume (il est né une semaine après le décès de son père), Comte de Champagne, est couronné roi de Navarre et devient Thibaud 1er.

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En 1239, Thibaud part en croisade en terre Sainte, rapporte de Damas un morceau de la vraie croix, dans son heaume une Rose dite de Provins (Rosa gallica) qui, par croisement, permet la création de nombreuses roses en France et en Europe,

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la tradition lui attribue aussi l'arrivée d'un cépage de Chardonnay qui entre dans la composition du champagne...

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- En bas à gauche la Porte St Jean,  elle date du XIIème Siècle.

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- Ci-dessus, la Grange aux dîmes,  XIIème siècle, appartenait au Chapître de Saint-Quiriace, elle était louée à des marchands fréquentant les foires de Champagne, les dîmes y furent perçues au XVème siècle. On y trouve trois niveaux : une vaste salle basse et un rez-de-chaussée formés de trois nefs à voûtes ogivales soutetenues par des chapiteaux, une salle haute accessible par un escalier extérieur et très éclairée par des fenêtres à meneaux. Aujourd'hui on y découvre des scènes évoquant la vie des marchands et les métiers au temps des foires de Champagnes (d'après plaquette sur place).


 

Du XII au XIIIème Siècle, Provins est une riche cité marchande, haut lieu du commerce de gros en Europe, on y organise deux fois l'an les Foires de Champagne qui durent de six à huit semaines.

Grâce à sa position géographique, Provins devient un véritable carrefour (9 chemins principaux et 11 secondaires) vers les ports des mers du Nord et Méditerranée. Les Flandres constituent la plaque tournante du commerce de l’Europe du Nord et de l’Est ; l'Italie, celle de l'Europe méditerranéenne, de Byzance et de l’Orient.

On y échange des laines (Angleterre), du lin et du chanvre (Hollande), des draps (Flandres), des vins (Espagne-France-Portugal), des fourrures et du cuir (Russie-Cordoue), de l'ivoire, des épices (Orient), des bois précieux, des teintures, de l'orfévrerie, des pierres précieuses.

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Le succès de ces foires réside aussi dans le fait que les Comtes de Champagne assurent la sécurité aux marchands aussi bien sur les routes peu sûres de l'époque "Le conduit des Foires", que sur place en veillant à juger en procès, présider aux contrats ou régler les litiges des contrevenants et ce dans toute l'Europe "La Garde des Foires".

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Provins frappe sa monnaie appelée le denier provinois, c'est un pôle d'échange de cultures et d'idées, on y développe la littérature, le goût et les arts.

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La Cité connaît son apogée sous le Règne de Thibaud IV.

Thibaud, amoureux de la Reine de France, Blanche de Castille (1188 - 1252) compose plusieurs chansons en son honneur qu'il fait peindre sur les murs de ses palais de Troyes et de Provins,  ce qui lui vaut le surnom de Chansonnier.Unknown


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Les foires des Flandres et de la Vallée du Rhin finissent par faire concurrence aux foires de Champagne dans le courant du XIII, et amorcent le déclin économique de la cité, dans le courant du XIVème siècle, le passage des Alpes par les cols, et l’utilisation accrue du détroit de Gibraltar achèveront l'activité économique.

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En 1281, le Maire, Guillaume Pentecôte allonge d’une heure la journée de travail, ce qui entraînera la révolte, il y perd la vie. La ville ne fera que s'appauvrir.

Les guerres de religion, les épidémies et l’abolition des privilèges aux marchands portent le coup de grâce aux Foires de Champagne, celle de Provins, mais aussi celle de Troyes, de Lagny et de Bar-sur-Aube.

Jeanne de Navarre, épouse Philippe IV Le Bel, unique héritière du comté, décède en 1305, la Champagne est attachée au domaine royal.

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- Jeanne de Champagne -

Reine de Navarre

(1271 - 1305)

 


Bientôt - Partie 2,
voici une petite vidéo très bien faite,
trouvée sur Youtube, en attendant :



Bises
* * * Aile * * *
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