Je suis bavard comme une Pie ...
Curieux comme une Chèvre ...
Oeil de Lynx ...
Agile comme un Singe ...
D'une patience... d'Ange ...
Souriant comme une Hyène ...
Tissus, cartons ? Je recycle à ma manière,
et si l'on me gronde je file comme une Anguille ...
Mais au bout, je suis doux comme un Agneau !
Un petit bisou ?
Signé, le Yo'd'Aile...
C'est une tornade au quotidien,
un clown en liberté,
un rayon de soleil qui déchire les nuages,
une contraction d'Aile et Ios,
Helios
le petit frère de notre adorable Calin.
Reposons-nous des petits excès,
Gardons au chaud les bons moments passés,
en espérant que le futur nous réserve une :
* * * Bisous à vous * * *
La Château de Brézé est situé dans le Département du Maine et Loire (49), à une dizaine de kilomètres au sud de Saumur.
*
1063 : Un premier Château est mentionné à Brézé,
1302 : Catherine, petite fille de Geoffroy de Brézé, hérite des terres de Brézé,
1318 : Sa fille Jeanne apporte ces mêmes terres en dot, à son époux Péan de Maillé, le Château reste dans la famille du 14 au 17ème Siècle,
1448 : Gilles de Maillé-Brézé, obtient l'autorisation du Roi René d'Anjou de fortifier le Château, pour la première fois de profonds fossés sont creusés (10/12m),
- Le Roi René d'Anjou -
(1409 - 1480)
1560 : Arthus de Maillé-Brézé donne un style renaissance au Château, et fait creuser plus profondément les fossés (18m),
1565 : Charles IX et Catherine de Médicis y sont reçus,
1615 : Le Marquis Urbain de Maillé-Brézé s'allie à la Famille du Cardinal de Richelieu dont il épouse la soeur Nicole du Plessis,
Urbain de Maillé
(1597 - 1650)
1650 : Le Château passe aux mains de la Famille de Condé suite au mariage de Claire-Clémence de Maillé-Brézé et Louis II de Bourbon, Prince de Condé,
Claire-Clémence de Maillé-Brézé
(1628 - 1694)
1682 : Le Prince de Condé échange le Château de Brézé contre un Château en Bretagne, Thomas de Dreux en devient propriétaire et prend à son tour le titre de Marquis de Brézé,
1810 : La Famille de Dreux-Brézé exilée pendant la révolution, revient au domaine,
1820 : Le logis principal est prolongé pour Henri-Evrard de Dreux-Brézé et son épouse Adélaïde de Custine,
1838 : On y trouve du style néo-gothique à Brézé grâce à Pierre-Luc-Charles Ciceri, Décorateur de Théâtres Parisiens.
- Pierre-Luc-Charles Ciceri -
(1782 - 1868)
1850 : Grandes restaurations et agrandissements du Château dirigés René Hodé, Architecte Angevin,
1939/1945 : Le Château est occupé par les troupes allemandes,
1959 : Mariage de Charlotte de Dreux-Brézé avec Bernard de Colbert, le Château passe aux mains de la Famille de Colbert,
1979 : Le Château est classé au titre des Monuments Historiques,
1998 : Ouverture au public,
2000 : Des souterrains sont à leur tour ouverts au public,
2006 : Toujours propriété de la Famille de Colbert, le Château reçoit une cure d'embellissement.
Un Château particulièrement étonnant en raison du site troglodytique qu'il abrite dans ses fondations et ses fossés, on y trouve notamment une boulangerie, une écurie, une magnanerie...
Vous pouvez retrouver le Site Officiel dont je me suis inspirée (voir détail des souterrains) >> ici <<
Les photos ont été prises pour la plupart à la tombée de la nuit,
pour parcourir les souterrains où était organisé un très beau Marché de Noël !
(Photos extérieures uniquement... Prises avec mon Iphone elles ont été retouchées après tant bien que mal)
- Le Pigeonnier seigneurial du XVème -
- à 15 mètres de haut, les restes de l'ancien pont-levis -
* * * Bises Aile * * *
Calin est ravi de vous présenter, son petit frère aux yeux bleus, prénommé ...
Attendris nous serons ;
Bien accueilli il sera.
* * * Bisous, Aile * * *
Nous sommes allés nous perdre en famille, dans une salle obscure pour aller admirer les exploits de James Bond et ... Notre opinion est restée plutôt mitigée pour ce film.
Mais où sont donc passés les effets spéciaux ?
Nous assistons comme nous aurions pu nous y attendre à un plongeon improbable où James mortellement blessé renaît tel le Phoénix dans les bras d'une vahinée... A des déplacements improbables au milieu d'une maison en feu et cernée d'explosions ;
Mais nous espérons "secrétement" retrouver ce qui a fait le succès des précèdents épisodes, les stations spatiales, les îles mystérieuses, les sous-marins de luxe, les paysages, les gadgets à gogo, les bombes, la James Bond girl, le charme de notre héros qui fait craquer toute la gente féminine, le mythique verre de Dom Pérignon 55 à la main...
Et bien non rien ne vient !
Enfin pas tout à fait, une James Bond girl très fragile, apparaît tardivement et très brièvement sous les traits de Bérénice Marlohe,
Il semblerait que "Bond, James Bond" équipé d'une musculature de rêve, n'a plus rien du super héros, c'est un homme comme tout le monde, qui fait moins appel à l'intelligence et au charme. Comme une version édulcorée, où l'acteur (très beau certes) affiche un style plus proche du soviétique que du britanique, une Aston Martin magnifique mais sans surprises, un révolver personnel doté de si peu de balles qu'il en devient vite bon à jeter, une balise pour finalement appeler les autres au secours.
On y ajoute une passion pour le whisky (Etonnant d'ailleurs en ces temps où fumer est tabou, Lucky Luke préfère macher du chewing-gum et Jacques Tati se casse la pipe... Pour James on persiste, un verre d'alcool est un style, un exutoire au stress, d'ailleurs dans ce film tout le monde y va de bon coeur).
Pour pimenter un peu, on nous affiche un dingo affublé d'un dentier qui pourrait laisser présager un corps bionicle (mais nous en sommes bien loin),
- Javier Bardem -
qui semblerait même prêt à avoir une aventure avec James...
mais surtout obsédé d'avoir la peau de "M" peu convainquante malgré sa longue expérience de Responsable des Services Secrets, sans instinct de protection et peu de notions de tir.
"M"
"K"
Notre James est épaulé d'un "K" ado studieux, qui n'arrive pas plus à le mettre au "parfum" en informatique, qu'en gadgets ;
Quant à son éternelle admiratrice, Miss Moneypenny, d'un style complètement différent, diversité oblige, on ne comprend pas trop pourquoi la nouvelle actrice conserve ce nom.
- Lois Maxwell et Roger Moore -
- Naomi Harris, la nouvelle Miss Monneypenny -
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Le changement, la modernité, je dis oui, mais cela ne pas pas empêchée de passer mon temps à me demander à quelle époque se situait l'action ?
Années 60 : (puisque l'on fête les 50 ans de James Bond) ? Dans ce cas les tenues sont trop modernes ; Années 2000 : Dans ce cas l'informatique est complétement dépassée et manifestement la crise est plus que passée par là, hormis donner envie à certains de s'offrir le dernier modèle de téléphone portable Sony pour Noël ?
En bref, aucune chronologie, un mélange d'acteurs d'hier et d'aujourd'hui incompréhensible, plus rien pour rêver ou trembler jusqu'à la dernière minute, plus de "do not disturb" sur la fin.
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Non non et non, à part le générique d'entrée de la merveilleuse Adèle, on repassera... ou pas !
* * * Aile * * *
